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Samedi 8 et Dimanche 9 février : FETE PAROISSIALE

Dimanche 9 février à 10h30 en l’église Saint-Jacques-le-Majeur : MESSE SOLENNELLE

Pas de messe : Dimanche à 9h en l’église Saint-Joseph ni Dimanche à 11h en la chapelle Saint-Luc

Edito

Fête de Sainte Joséphine Bakhita
Journée mondiale de Prière et de Réflexion contre la traite des personnes
Bakhita (1869­8 fév. 1947) est un prénom qui signifie « la chanceuse ». Était-ce une prémonition du destin, une ironie des trafiquants qui l’attribuèrent à une petite fille de 9 ans, avant de la vendre comme esclave sur un marché soudanais, ou une manière de conjurer le sort ? En tout cas son histoire merveilleuse a débuté de manière terrible.
Lorsqu’elle naît, la petite est aimée, choyée, protégée. Son oncle est chef de tribu, son père est puissant et sa mère belle et maternelle. La disparition brutale de ses sœurs qui sont enlevées, vient assombrir son enfance. Déjà, le malheur frémit dans sa chair. La petite a peur mais ignore encore que deux ou trois ans plus tard, c’est elle qui sera la proie.
Lorsqu’elle est capturée commence une vie dans les chaînes, la violence et la douleur. Vendue à plusieurs reprises, Bakhita sert de souffre-douleur à des petites filles arabes, de jouet sexuel à un adolescent ignoble, et échoit à un général turc qui la torture quotidiennement. Durant ces années de « grand malheur », Bakhita tente de survivre en laissant son « cœur oiseau » s’échapper vers de meilleurs horizons tandis que son corps enchaîné endure la souffrance.
Jusqu’à ce que survienne le miracle : à 13 ans, Bakhita est vendue au consul d’Italie à Khartoum. L’homme, profondément doux, envisage de rendre Bakhita aux siens. Mais la pauvre a oublié sa langue et jusqu’à son nom d’origine. Cette prise de conscience est pour elle le « début d’un long chagrin » : « Elle se remémore les siens, avec l’espérance que leurs noms reviennent, mais ils demeurent enfermés dans cet amour immense et anonyme ». Lorsque le consul rentre en Italie, elle le supplie de l’emmener « au pays du rêve blanc et du soleil doux ».
Même si l’Italie est pauvre et inégalitaire, même s’il va lui falloir travailler comme domestique puis comme nourrice, Bakhita serpente enfin sur son bon chemin. Un ami de la famille qui l’emploie lui fait découvrir le Christianisme, la révélation sera un peu longue à survenir mais profonde. Lorsqu’elle comprend ce qu’elle partage avec le Christ, Bakhita est émerveillée et demande à devenir « la fille d’un Père qui ne l’abandonnera jamais ».
C’est là que le grand public va commencer à s’émouvoir de l’existence de sa madre moretta (petite mère noire). La domestique est-elle enfin libre de choisir son destin ? Un procès retentissant a lieu à Venise, et s’achève en novembre 1889 par sa libération : on lui reconnaît le droit de choisir ses engagements. En Italie, l’esclavage n’existe pas.
Devenue sœur Giuseppina Bakhita, Joséphine va passer les cinquante années qui lui restent à vivre dans un couvent vénitien. Une fois les premières curiosités, frayeurs, désapprobations passées, chacun finira par reconnaître l’extraordinaire tempérament de cette religieuse canossienne, dévouée aux enfants, aux faibles, aux souffrants. Béatifiée puis canonisée par Jean­Paul II, Sainte Joséphine Bakhita est aujourd’hui vénérée au Soudan.
Père Achille d'Almeida

Février

Dim09Fév17h30Messe des Jeunes : Dimanche 9 février 2025 à partir de 17h3017h30(GMT+01:00) Saint-Jacques-Le-Majeur, 39 Rue Gabriel Péri, 92120 Montrouge

Mer12Fév20h00Mer22h00Soirée HABEMUS PAPAS Mercredi 12 février 2025 à 20h20h00 - 22h00(GMT+01:00) Eglise Saint-Joseph, 5 Rue Henri Barbusse

Aujourd'huiDimanche09FévrierSemaine 6 | ApollineLGibbeuse croissante

En ce temps-là, la foule se pressait autour de Jésus pour écouter la parole de Dieu, tandis qu’il se tenait au bord du lac de Génésareth.
Il vit deux barques qui se trouvaient au bord du lac ; les pêcheurs en étaient descendus et lavaient leurs filets.
Jésus monta dans une des barques qui appartenait à Simon, et lui demanda de s’écarter un peu du rivage. Puis il s’assit et, de la barque, il enseignait les foules.
Quand il eut fini de parler, il dit à Simon : « Avance au large, et jetez vos filets pour la pêche. »
Simon lui répondit : « Maître, nous avons peiné toute la nuit sans rien prendre ; mais, sur ta parole, je vais jeter les filets. »
Et l’ayant fait, ils capturèrent une telle quantité de poissons que leurs filets allaient se déchirer.
Ils firent signe à leurs compagnons de l’autre barque de venir les aider. Ceux-ci vinrent, et ils remplirent les deux barques, à tel point qu’elles enfonçaient.
À cette vue, Simon-Pierre tomba aux genoux de Jésus, en disant : « Éloigne-toi de moi, Seigneur, car je suis un homme pécheur. »
En effet, un grand effroi l’avait saisi, lui et tous ceux qui étaient avec lui, devant la quantité de poissons qu’ils avaient pêchés ;
et de même Jacques et Jean, fils de Zébédée, les associés de Simon. Jésus dit à Simon : « Sois sans crainte, désormais ce sont des hommes que tu prendras.»
Alors ils ramenèrent les barques au rivage et, laissant tout, ils le suivirent.


Extrait de la Traduction Liturgique de la Bible - © AELF, Paris
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